Au cœur de la ville de Draguignan, dans un quartier calme, mais proches des commerces, du centre ville, de la place du marché et du centre ancien, venez goutez à nos plats dans un écrin de verdure.
Parmi les 8 villes les plus peuplées du Var, Draguignan est à 33 km de Fréjus et de la Mer.
La ville est située dans le vallon de la Nartuby de 2 km de large à 200 m d'altitude et le point culminant de la commune est le Malmont à 603 m d'altitude.
La Dracénie, porte du Haut Var, est le passage obligé vers les gorges du Verdon.
Vers 2500 ans avant J.C. la Dracénie était déjà habitée puis à l'âge de Fer des villages fortifiés de pierres sèches se sont construits sur les hauteurs de la future ville.
Draguignan est née peu avant l'an 1000 et portait le nom de Dragonianum.
A voir :
- Le dolmen de "La pierre de la fée" : Situé sur la route de Montferrat, ce dolmen, classé monument historique, est l'un des plus imposants de Provence, près de 60 tonnes et 2 mètres de haut. A l'origine sépulture collective, il est source de nombreuses histoires. La légende de la fée Estérelle en fait un lieu de fécondité et Jean de Nostredame l'évoque dès le XVIe siècle.
- Le mémorial du Rhône et le cimetière américain. Unique dans le Sud Est de la France, ce lieu honore le débarquement allié du 15 août 1944 appelé "opération Dragoon". Une impressionnante carte de bronze en relief relate les opérations militaires au centre du cimetière qui renferme 861 sépultures où croix et étoiles en marbre blanc indiquent la confession des défunts. Appuyée sur le mur des disparus, une immense sculpture, "l'ange de la paix" veille sur la chapelle qui abrite de splendides mosaïques.
- La chapelle Saint-Sauveur : Restauré, cet édifice du XIIe siècle est un exemple du style roman provençal. Chapelle des chevaliers hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, elle traverse l'histoire avec des usages parfois incongrus : siège de confrérie, poudrière, cellule. En juillet, elle accueille les expositions de l'été contemporain Dracénois.
- La tour de l'horloge : Couronné par un superbe campanile du XVIIe siècle, l'édifice fut reconstruit en 1662 après l'amnistie accordée à la ville par le Roi Louis XIV. Symbole du pouvoir de Draguignan depuis les origines, les horloges de la tour rythment toujours la vie de la cité pour le plaisir de tous.
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