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En centre ville, à moins de 5 minutes de la place du marché et de ses rues piétonnes, venez découvrir le restaurant & chambres d'hôtes Le DOMINO dans une cossue demeure bourgeoise ; dès la porte franchie l'atmosphère chaleureuse des lieux est saisissante.
Jean-Marc et Agnès, les maîtres de céans vous accueillent avec chaleur et convivialité.
Dans un lieu unique et rafraîchissant au cœur de la ville de Draguignan, cuisine raffinée, le coin bar rythmé par une douce musique, une salle de repas chaleureuse suivie de la véranda ouvrant sur le jardin intérieur à l’abri du bruit et de l'agitation de la ville, le tout surplombé par quatre chambres d'hôtes aux charmes certains.
Var Matin (Draguignan) 23 oct. 2015 EMERIC CHARPENTIER
La bâtisse de 1895, ayant appartenu à la famille Lombard, poursuit sa rénovation.
Au-dessus du restaurant, Jean-Marc et Agnès Oustric viennent d’ouvrir deux nouvelles chambres d’hôtes
Au 28 de l’avenue Carnot, l’imposante bâtisse ne passe pas inaperçue : construite en 1895, elle présente une façade classique de l’époque qui contraste avec le style colonial, côté jardin, dont se sont inspirés les premiers propriétaires, parents d’une « figure » dracénoise : Antoine Lombard (1813-1904), qui a donné son nom à la rue adjacente, fut maire de Draguignan de février à novembre 1 874. Commandant de la Légion d’honneur, il fit carrière comme capitaine de vaisseau. Est- celui, ou son père, dont le souvenir et le portrait hantent encore l’actuel restaurant et chambres d’hôtes « Le Domino », qui a baptisé l’une de ses suites du nom du général Lombard ? Mystère. La demeure, qui appartient aujourd’hui à Jean Marc et Agnès Oustric, a été rachetée par les parents de celui- ci. Elle fut longtemps connue et visitée comme le cabinet de consultations externes à la clinique de son père, Jean-Daniel Oustric, chirurgien, décédé en 1985.
Six ans plus tard, les époux Oustric y ont donc ouvert « Le Domino », une table désormais reconnue dans la cité du Dragon au milieu d'une végétation luxuriante, en plein centre ville, pour en faire aussi une demeure de charme.
Dix ans, on a donc décidé d’ouvrir nos deux premières chambres d’hôtes, au 3e étage. 0n leur a donné le prénom de nos deux filles, Coline et Violette. Dans la première, on a en la surprise de découvrir des fresques en enlevant les faux plafonds! », sourit Agnès. II a quelques mois, c’est le premier étage, avec deux nouvelles chambres, qui a repris vie a son tour, après de gros travaux de rénovation et le choix de matériaux écologiques (liège, peintures à l’argile...). Mobilier ancien, peintures d’artistes locaux, literie douillette, carrelages en petits carreaux d’Alain Vagh Salernes, terrasse privative noyée dans la verdure... les propriétaires ont tout fait pour que la clientèle «se sente ici chez elle, comme à la maison. »
Et c’est bien ce que les visiteurs apprécient au « Domino » : des familles, des artistes, des sportifs, des Français comme des étrangers, une clientèle « finalement très variée », souligne Agnès.
Sans que, pour autant, l’hostellerie ait pris le pas sur la restauration : «Mais notre activité principale reste le restaurant. Les chambres, cela permet surtout de faire vivre la maison et de continuer à la restaurer. »
Et les travaux continuent...
Une entreprise loin d’être achevée car la vénérable demeure aux murs peints accuse, ici et là, le poids des années. Maïs les époux Oustric n’ont de cesse de réinvestir : «0n continue les travaux pour aménager un salon bibliothèque, au premier étage, et une salle de petit- déjeuner » qui offriront au public un cadre encore plus intimiste. Une adresse à recommander aux amateurs d’une escapade un peu hors du temps !
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Journal VAR-MATIN. L'adresse pourrait sembler austère, au 28 de l'artère historique de Draguignan, boulevard Carnot, dans une cossue demeure bourgeoise, c'est tout le contraire. Dès la porte franchie, l'atmosphère chaleureuse des lieux est saisissante.
Jean Marc et Agnès, les maîtres de céans, ont du goût, la passion de la brocante et l'art du détail.
Le cocktail de ces trois qualités offre un cadre époustouflant. Chaque mètre carré interpelle l'imagination, les grands tableaux bariolés ornant les murs, les citrouilles sur les tables, les fiers chandeliers torturés, les babioles dispersées un peu partout, collections de vieux téléphones, de bouteilles de limonade, de masques, jusqu'au plafond où s'ébattent de grands mobiles en bois, un avion ici, un bateau là, un poisson.
Et le sol? Le nec plus ultra de la maison, qui vaut à lui seul le déplacement: un enchevêtrement de cercles en mosaïque de terre cuite, comme une nuée de soleils.
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Le guide du ROUTARD Restaurant le Domino. Une maison de caractère, et un restaurant qui n'en manque pas, sur l’artère principale. On se croirait invité dans un appartement loué paur une styliste qui aurait beaucoup d'amis pas tristes, ou qui adorerait les films d'Almadovar. Gentillesse de l'accueil et du service. Des salades, des viandes parfumées,et, bien sûr, pas mal de spécialités mexicaines à déguster selon le temps sous la véranda, ou sous les palmiers du jardin. Exposition de peintures.
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Journal VAR-MATIN. Le restaurant "'Le Domino" cache bien son jeu. Installé au coeur d'un bel immeuble bourgeois, on pourrait craindre d'y trouver une ambiance guindée et une cuisine à l'avenant. C'est tout le contraire. D'abord il y a l'accueil souriant de Jean-Marc Oustric et d'Agnès sa compagne. Ensuite il y a le cadre plein de fraîcheur avec de grandes pièces colorées décorées de beaux objets, un agréable jardin d'été où l'on peut déjeuner à l'ombre et dîner sous les étoiles et le coin bar pour siroter un cocktail avant ou après le repas. Enfin et surtout il y a la cuisine qui invite au voyage, avec les spécialités tex-mex, fajitas (15 €), chili con carne (10 €). Le chef n'oublie pas pour autant la gastronomie française à l'image de sa poêlée de Saint-Jacques aux girolles ou de son agneau à l'ail en chemise (17 €). Il propose également un plat du jour à 10,50 €. Le tout a l'appui d'une carte des vins qui fait la part belle au bon crus de Provence et d'ailleurs. Le Domino propose aussi deux chambres d'hôtes pleines de charme (à partir de 50 €). Le Var-matin du 14 août 2005